L'abus d'alcool est dangereux pour la santé.
À consommer avec modération.
Si James Bond s’est essayé à de nombreuses boissons, il revient très régulièrement à ce cocktail. Au cours de ses différentes aventures, il devient un véritable guide du savoir-vivre et des spécialités locales avec un penchant tout particulier pour la gastronomie française. Amateur de la célèbre eau gazeuse Perrier ou de « l’apéritif of Bordeaux » en référence au Lillet, il ne fait presque aucun doute que 007 aurait craqué pour le plus « unconventional » et « so French » des gins.
Pour revisiter ce cocktail convoité par de nombreux cinéphiles, versez dans un shaker 8 cl de G’Vine, ajoutez un trait de vermouth sec et de la glace puis remuez afin d’obtenir un mélange bien homogène. Plus doux et fleuri que les gins fabriqués à partir de céréales, le G’Vine aurait certainement mis en émoi James Bond jusqu’à lui faire modifier sa recette. Avec autant d’arômes, l’ajout d’olives ou de zeste de citron devient presque fantaisiste. Quelques grains de raisin suffisent pour sublimer le parfum fruité.
Pour goûter au célèbre Vesper Cocktail, ainsi baptisé en référence à la première James Bond Girl, mélangez, dans une coupe à champagne, 3 mesures de gin, 1 de vodka, 1/2 de vermouth puis ajoutez un zeste de citron avant de déguster. Aux côtés du classique Gin Tonic, le Negroni est l’un des nombreux cocktails qui fait son apparition au grand écran. Assemblage de gin, de Campari et de vermouth roux, ce breuvage italien se boit très frais et agrémenté d’une rondelle d’orange.
Si le Dry Martini est devenu indissociable de 007, cette boisson a fait de nombreux adeptes dans les plus hautes sphères de la société, de Truman Capote à Winston Churchill, en passant par Cary Grant. Certains fans de James Bond sont peut-être déjà en train de spéculer sur son apparition ou non dans le prochain film dont la sortie est prévue début 2020. Et si G’Vine volait la vedette au célèbre agent 007 ?