L'abus d'alcool est dangereux pour la santé.
À consommer avec modération.
De nombreuses personnes partent du principe que la grippe est une maladie infectieuse et que l’alcool aide à lutter contre les infections. Alors, pourquoi ne pas consommer du gin pour tuer les virus et les autres microbes qui nous agressent ? Les anciens préconisaient d’avaler un grog pour guérir les symptômes grippaux en un éclair. Certains misent, quant à eux, sur l’action locale des boissons alcoolisées et estiment que les ingérer contribue à purifier les amygdales et à limiter les maux de gorge. D’autres assurent même que les effets du gin sont prouvés médicalement.
Le gin contient une certaine proportion d’éthanol. Si les propriétés antibactériennes et virucides de l’alcool éthylique sont incontestables, le pourcentage d’éthanol dans le gin n’est pas assez élevé pour faire de lui un désinfectant. Pour constater un effet sur une maladie virale, la concentration d’alcool dans le sang devrait atteindre 60 % à 80 %. Or, une alcoolémie de 0,2 % se traduit par un état d’ébriété. À partir de 0,5 %, elle est susceptible d’entraîner un décès par empoisonnement. Il est donc impensable d’espérer soigner une grippe avec du gin sans se mettre en danger.
Issu de l’expertise charentaise, le G’Vine Floraison est un gin à base d’alcool de raisin, doux et floral, composé de 10 plantes et épices minutieusement sélectionnées pour leurs vertus aromatiques. Si un verre de ce French Gin n’est pas un remède antigrippe validé scientifiquement, il constitue en revanche une boisson de choix pour les gastronomes, même malades.